10.28.2010

Prévention et contrôle colibacillose

nitaire 

Au niveau des bâtiments 

  • Le nombre de pondoirs doit être suffisant pour éviter les pontes en terre.
  • Respect des normes zootechniques.
  • Bonne désinfections.
  • Respect rigoureux des règles d’hygiène.

Au niveau des reproducteurs

  • Eau propre.
  • Aliment de bonne qualité.
  • Contrôler la densité.
  • Traiter les entérites.
  • Respect des règles d’hygiène.
  • Respect des normes zootechniques.

Au niveau de l’élevage 

  • Ramasser les œufs 6 à 7 fois par jour.
  • Écarter les œufs sales.
  • Fumigation des œufs dans les heures qui suivent.
  • Le transport des œufs doit être rapide et propre.

Au niveau du couvoir 

  • La conception des couvoirs doit contenir une partie sale et un autre propre.
  • Il est préférable d’avoir une manipulation électrique.
  • Le technicien dans le couvoir doit connaître la notion du microbe.
  • Fumigation des œufs.
  • Contrôler les conditions de stockage des œufs.
  • Le transport des poussins doit être rapide, propre et étanche.

Au niveau de l’élevage des reproducteurs ou du poulet de chair

  • Ventilation correcte.
  • Bonne désinfection.
  • Respecter la densité.
  • Respecter les normes zootechniques.
  • Diminuer le microbisme.
  • Contrôler la densité.
  • La forme respiratoire peut être réduite par une réduction de tout agent favorisant : le mycoplasme B.I ; N.D.V, mauvaises conditions d’ambiance…

Médicale 

  • Un traitement préventif : Chloration de l’eau de boisson réduit l’occurrence des colibacilles.
  • Vaccin vivant : utilisé chez le poulet âgé de plus de 14 jours est aussi efficace.
  • Un vaccin inactivé contre les sérotypes O 2 : K 1 ; O 78 : K 80.
La vaccination des reproducteurs confère une protection à la progéniture contre la souche homologue durant 2 semaine
  • Exclusion compétitive

Vaccinations aviaire

Les maladies virales, à part quelques très rares, ne peuvent être soignées à l'aide d'antibiotiques, seul moyen pour s'en prévenir : La vaccination.
Notions de biologie :
Un vaccin est un substrat contenant des virus vivants atténués ou morts, destinés aux Lymphocytes qui vont fabriquer des anticorps, il y aura une mémoire du virus concerné pendant un certain temps, ce qui oblige à faire des rappels.
Les premiers jours de la vie, un poussin bénéficie d'anticorps maternels (AM), transmis par les parents, à condition que ceux-ci soient vaccinés contre les maladies virales ou qu'ils soient immunisés contre certaines maladies bactériennes.
Les anticorps sont contenus dans la partie visqueuse du blanc d'oeuf, raison pour laquelle, lors d'incubations artificielles, la température ne doit 
jamais dépasser 38°C car à partir de cette température, les anticorps sont progressivement détruits, si l'on chauffe davantage, le poussin aura des déformations, il n'y a pas de retour arrière.

Cette protection maternelle peut persister de quatorze à vingt jours.
Important : La vaccination contre la maladie de Marek doit être précoce, les premiers jours de la vie : Si le poussin est protégé par les AM, le vaccin ne servira à rien, si le poussin ne possède pas d'AM, le vaccin protégera et évitera la fixation de tumeurs dans l'organisme.
Mais : Au bout de quatorze jours, la protection par les AM disparaît et le poussin doit construire la protection qui lui est propre, ce qui veut dire clairement que la vaccination devient obsolète et qu'un rappel est nécessaire.
Cela se complique en fonction des maladies présentes dans une région, par exemple : La maladie de Gumboro, dans ce cas, la vaccination contre cette maladie devra être effectuée en premier, le problème, est qu'il s'agit d'une maladie immunosuppressive, (un peu comme le sida humain), c'est à dire que même en étant atténué, le vaccin va empêcher l'installation des autres vaccinations, il faut respecter un vide, on prend toujours un risque mais c'est le seul moyen.
Un exemple de protocole : Admettons que la maladie de Gumboro soit présente, on va vacciner le deuxième jour de la vie, ensuite, au quinzième jour, on pratiquera Marek et comme la vaccination Gumboro disparaîtra avec les AM, on fera un rappel à l'âge d'un mois. Dans les cas de fortes infestations, il faut faire une primo vaccination + deux rappels. Sans vaccination, le pic de mortalité des poussins se situe au 25ème jour de la vie, 85 à 95% ne survivent pas.
Important : La maladie de Gumboro étant immunosupressive le poussin n'en meurt pas directement mais sans protection immunitaire, il contracte la première bactérie de passage et en meurt, aussi, les diagnostiques sont très délicats à évaluer, on remarque souvent des fientes collantes qui souillent l'anus, des filaments qui entourent la langue, des paupières collées.
Par ce survol, nous voyons l'importance de la vaccination des jeunes et des rappels sur les reproducteurs.
On notera également que la nourriture des Lymphocytes provient des vitamines synthétisées par le foie, il est donc judicieux, avant de vacciner de faire une vitaminose, avec des produits sérieux, non avec des "machins" à effet placebo, que l'on trouve dans le commerce.

Il existe de nombreux vaccins, il est nécessaire de se renseigner du taux de virulence selon votre région.
Ci-dessous, nous citons les principaux vaccins :
Marek : C'est une maladie tumorale à évolution lente, les micro-tumeurs s'installent très précocement, cela évolue vers des paralysies et une mort certaine. Certains accouveurs pratiquent un protocole de vaccination dans l'oeuf.
Newcastle : Est aussi appelée "la peste aviaire".
Gumboro : Maladie immunosuppressive à deux visages, principalement mortelle pour le poussin, chez les adultes, peu de mortalité mais certains deviennent porteurs sains, ils entretiennent et propagent le virus toute leur vie.
Bronchite infectieuse : Ne pas confondre avec une bronchite commune, une maladie respiratoire classique, (MRC) ou un coryza, il s'agit d'une infection virale très sérieuse.

Les vaccinations peuvent être pratiquées par injection sous-cutanée, en eau de boisson ou par instillation oculaire.
Il faut savoir qu'un vaccin, dès qu'il est reconstitué, doit être administré dans les deux heures, parfois dans l'heure.
Pour cette raison, nous ne conseillons pas l'eau de boisson, car on ne sait pas quand, qui et quelle quantité est bue, même en faisant faire une diète hydrique aux sujets au préalable, cette méthode est trop aléatoire.A proscrire : L'eau du robinet qui contient du chlore qui détruirait le virus atténué.
Nous ne conseillons pas non plus l'instillation oculaire, une simple goutte dans l'oeil est également aléatoire, le sujet peut secouer la tête ou le vaccin passe trop rapidement dans le sinus post orbital et est évacué.
Le plus efficace reste la vaccination sous-cutanée, notamment pour Marek et également la vaccination dosée et administrée par seringue tubulaire directement dans le jabot.
Actuellement, les vaccins sont conditionnés en flacon de 1000 doses et parfois en pack de 10 fois 1000 doses, SOS Gallinacés s'emploiera auprès des laboratoires, afin de faire réduire ces conditionnements excessifs.
Enfin, il faut savoir que SOS Gallinacés, s'adresse autant aux particuliers qu'aux professionnels, par déontologie, nous ne pouvons favoriser tel ou tel laboratoire ou prendre le risque qu'une personne non habilitée se lance à faire de la vaccination anarchique.

Pour Éradication de l'hypodermose dans l'elevage bovine


voila une methode experementé et efficace pour l'eradication de l'hypodermose d'un elevage bovine,il suffit de le suivre étape par etape sans raté le moindre détail; 
-cette opération necessite 3mois et 7jours pour étre compléte,voila une explication:

1-on lesse les nodules sur le corps du bovin disparu completement=ce que veut dire que tout les larves ont sorti et tombé par terrepour continué leurs developpement(on fait signalé que la durée de migration de l'hypoderma est de 8 mois).

2-on compte 2 mois aprés ca=c'est le temps de developpement de larve en nymphe et aprés en adulte.

3-on compte 7jours =c'est la durée de vie de l'adulte.

4-finalement on compte 1mois=ici en a le stade du larve l1 (le stade ou il est le + sensible au antiparasitaires)

c'est à ce moment et a ce stade ou on doit traité tout les animaux par l'ivermictine en micro dose,et à l'année prochaine nchalah,on trouverais 0 hypoderma dans la cheptel.

Etude technico-économique d’un atelier d’engraissement ovin hors-sol


Le présent travail a pour objectif d’analyser le fonctionnement d’un atelier d’engraissement ovin structuré, à travers la caractérisation de sa conduite technique et l’établissement de son bilan économique.
Pour atteindre ces objectifs, des données ont été récoltées à partir des enregistrements, étalés sur quatre années, relatives à un atelier d’engraissement ovin, situé dans la région de Rabat. Ces données ont été traitées pour dégager les différents paramètres techniques qui influencent les performances de production, aussi que pour dresser un bilan économique de l’activité d’engraissement.
Sur le plan technique, les résultats de l’étude menée dans cet atelier ont permis de relever que la race Timahdite est la plus utilisée dans ce type d’élevage. En outre, les agneaux admis dans ce type d’élevage, souvent âgés de 3 à 9 mois, séjournent dans l’atelier d’engraissement pendant 80 jours en moyenne.
Par ailleurs, les agneaux mis à l’engraissement à un poids de démarrage entre 15 et 20 Kg, réalisent le GMQ le plus élevé (174 g/j). Les agneaux de cette tranche de poids présentent un indice de consommation de 5.5 Kg de MS/Kg de gain de poids, un taux de mortalité ne dépasse pas 3%, lorsque le programme prophylactique est mené de manière correcte et aussi quand la conduite alimentaire se base sur une phase de transition courte.
Sur le plan économique, l’analyse du prix de revient d’un Kg de poids vif, a montré que ce prix est influencé en grande partie par les charges alimentaires qui représentent 90% des charges totales, exclues les charges de main-d’œuvre et les frais liés à l’amortissement. Ce coût a été de 21,60 DH/Kg de poids vif, pour un prix de vente moyen de 28 DH/kg, soit un gain moyen de 6,40 DH/kg de PV produit. D’autre part, le prix de revient global est de 680 DH/agneau pour une durée d’engraissement de 80 jours.
Les résultats de notre étude montrent donc clairement que la maîtrise de certains facteurs de gestion, notamment liés à la conduite alimentaire et sanitaire, sont de nature à améliorer davantage la rentabilité de cet élevage qui dégage, actuellement un gain moyen de 179 DH/agneau.
Mots-clés : Ovin, Maroc, engraissement, gestion technique, bilan économique.

 
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